C'est un véritable soulagement de savoir qu'enfin les personnes qui se sentent concernées vont pouvoir lire l'intégralité des études, et en savoir autant que leurs élus municipaux, sur la topographie, sur les espèces protégées, sur la zone humide etc.
Peut-être vont-elles mieux comprendre ce que j'essaye de dire depuis des mois en différentes occasions (bulletins municipaux, réunions publiques) ? A savoir que :
A ce stade les plans ne sont que des scenariis qui n'ont absolument aucune portée juridique.
Que les scenariis permettent de réserver la connection entre le Sud et le Nord de la ZAC derrière le garage Citroën
Que ce seront les études et la phase ultérieure de "réalisation" de la ZAC qui arrêteront les choix définitifs.
Que cette phase de réalisation qui doit suivre n'a pas de calendrier arrêté, pas plus pour son début que pour sa fin, dans 5 ans ? 10 ans ? 30 ans ?
Que la concertation et les études peuvent encore tout à fait déboucher sur une non création de la ZAC, avec statu quo en l'état du Plan local d'urbanisme. Chacun pourra alors, comme depuis 2007, se prendre en main pour vendre à des lotisseurs privés des terrains enclavés situés pour la plupart autour ou dans une zone humide de 6,5 hectares...
Aujourd'hui
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Demain, mais quand ?
2 commentaires:
Encore et toujours des zones douces de circulation.
"Réflexe vélo" plutôt que "réflexe voiture" qui peut l'appliquer pour emmener ses enfants à l'école???
Combien d'Ecomméens souhaitent un tel changement?
Les liaisons douces qui sont effectivement à la mode viennent en plus des voies pour les automobiles. Dans ma conception de l'urbanisme en zone rurale, elles ne les remplacent pas. Ce sont des liaisons parallèles généralement. Par exemple, celle qui se fera dans la ZAC du Cruchet.
Maintenant, réfléchissez à ceci: Sur une période de vie moyenne de 78 années pour un individu, celui-ci conduit pendant 60 ans. Pendant combien d'années utilise-t'il sa voiture pour emmener ses enfants à l'école ? 15 ans au maximum, soit le quart de sa vie d'automobiliste...
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