jeudi 9 octobre 2014

Un message de Maguy

Bonjour Sébastien,

J’espère que vous allez bien.

Le temps passe, et Ecommoy a toujours une place dans mon cœur.

L’automne est là, et les dernières fleurs des rosiers finissent de sortir avant les premières gelées…

Je ne peux, vous vous en doutez, m’empêcher d’aller sur le site de votre commune, et d’autres… dont un, bien moins sympathique et bienveillant :

J’ai vu que votre adversaire politique, Madame Beucher, ne cesse de « distiller son venin », et notamment sur le Jardin de Marina qui figure bien entendu dans la première édition de son journal. Elle y donne des informations erronées comme :
·         « l’inauguration en grande pompe » alors qu’il n’y avait pas un élu extérieur à la commune.
·         Nous aurions associé les enfants d’Ecommoy pour les plantations, alors que ce n’est pas pour le Jardin de Marina, mais pour le parc arboré attenant au jardin que vous les avez sollicité.
·         D’autre part, parler de ce jardin comme d’un exutoire prouve qu’elle n’a rien compris car si elle était venue à l’inauguration elle aurait compris le sens de la démarche (les différentes interventions étaient intéressantes et explicites). Il a été créé, certes pour honorer la mémoire de Marina, mais également d’interpeller les citoyens que nous sommes sur la maltraitance.

Mais, vous êtes resté silencieux, et vous avez raison de ne pas alimenter la polémique. «Le silence est le plus grand des mépris ».

Hier, notre groupe, qui suit de près les actions des associations, a été une fois de plus blessé (mais pas vraiment surpris) par la décision de justice pour le recours en cassation : « l’État n’est pas coupable ». C’est une injure à Marina ! Enfance et Partage souhaite entamer une procédure à la Cour Européenne. Ces associations sont décidément très courageuses et persévérantes.

Je pense que je ne vous ai pas envoyé le poème que j’avais lu à l’église le jour de l’inauguration, et qui a été écris par un membre d’Une Pensée pour Marina. Je vous le transmets donc ci-joint.

Bien à vous,

Maguy

Aucun commentaire: